VALENTINO BEAUTY S’INSTALLE AUX GALERIES LAFAYETTE

C’est en juin dernier que Valentino sortait sa toute première ligne de make-up. Cette collection pensée par le directeur artistique de la prestigieuse Maison italienne, Pierpaolo Piccioli, dévoile une gamme complète et rechargeable. Si elle était déjà disponible chez Selfridges à Londres et sur le site de la marque, c’est aujourd’hui aux Galeries Lafayette qu’elle s’installe.

Valentino prône une beauté inclusive

Dans ses défilés, la maison de couture célèbre la femme et son émancipation avec une note fantaisiste. On y repère souvent des messages politiques, économiques et inclusifs dans des styles excentriques et romantiques. Ce sont ces mêmes codes qu’elle tient à conserver pour sa gamme de maquillage.

Composée de fonds de teint, de rouges à lèvres, de références pour les yeux (mascara, liner, fard à paupières, etc), et de multiples teintes, Valentino Beauty rend hommage à l’art de la couleur et aux textures raffinées. L’universalité de chaque produit reflète la liberté d’expression et l’individualité qui sont au coeur de la marque et font écho à ses collections mode.

Valentino Beauty a été élaborée avec Raoul Alejandre, maquilleur connu pour son audace avec le concept « Create your own beauty dreams ». Tous les articles sont parés du V-logo, signature de la marque. Le plus : la Go-Clutch, une petite minaudière contenant une poudre et un rouge à lèvres. Un réel accessoire de mode.

Des produits rechargeables

La ligne possède également des produits rechargeables, qui entrent dans l’offre labellisée Go for Good des Galeries Lafayette. En effet, le leader français des Grands Magasins, s’engage vers une consommation plus responsable. Le but étant de mettre en avant plusieurs marques et articles ayant un impact positif sur l’environnement, le développement social ou la production locale. Ce label inspirant propose des produits plus justes et plus durables. Une belle initiative que l’on soutient pleinement chez Paulette !

Retrouvez la collection au rez-de-chaussée, sous la coupole des Galeries Lafayette.

Un article d’Alicia Desrivieres