L’HUILE LEONOR GREYL, L’ALLIÉE DE VOTRE CRINIÈRE CET ÉTÉ

Ni le chaud soleil de juillet, ni l’eau salée de la Méditerranée n’aura raison de vous. Cet été, bye bye les fourches! Depuis 50 ans déjà, l’huile iconique de Leonor Greyl prend soin de votre crinière et (re)devient votre meilleure alliée de la saison.

Un doux parfum des îles, pour des cheveux nourris tout l’été. Après cinq décennies de lutte contre le soleil, le sel, la déshydratation et même les décolorations, l’huile de Leonor Greyl se réinvente mais ne perd pas de vue ses objectifs : nourrir, régénérer et protéger un cheveu sublimé. Utilisée entre deux ploufs, avant une balade dans le sable chaud, ou après une coloration chez votre coiffer, l’huile de Leonor Greyl a conquis de nombreuses utilisatrices, dont des professionnelles.

La recette green

Ce véritable élixir de jouvence est né d’un voyage aux Antilles, lorsque Jean-Marie Greyl s’est aperçu que des gouttes de pluie glissaient sur les palmiers sans jamais les mouiller. Et tada! C’est la même chose pour votre tignasse. Grâce à la propriété de cette plante le cheveu est protégé grâce à une barrière imperméable. Mais ce n’est pas tout. Comme une seconde naissance, l’huile de Leonor Greyl a été récemment enrichie d’huile de Coprah et d’huile de Mongongo. Toutes les deux, aux vertus incroyablement hydratantes et régénérantes, comme leur copine! Résultat, une recette à 97 % naturelle et vegan.

Deux utilisations, deux fois plus de plaisir

Deux possibilités pour s’en servir :

1 – Sous la douche.
Appliquer un à trois bouchons sur les longueurs et les pointes sèches, brosser pour bien répartir le produit. Laisser poser au minimum 10 minutes avant de passer au shampoing

2 – En finition.
Après le coiffage des cheveux frisés ou très secs, verser trois gouttes dans la main, frotter la brosse au creux de la main, puis la passer dans les cheveux.

Le tour est joué ! Rayonnante pour flâner tout l’été grâce à cette experte beauté qui prend soin de vos cheveux.

L’huile de Leonor Greyl est disponible sur l’eshop ou en institut Leonor Greyl.

Article de Aurélie Rodrigo.