5 RESTOS COOL OÙ SE RÉFUGIER POUR MANGER UNE SOUPE
1. La soupe à l’oignon du District
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Le bar cosy de la rue Montmartre propose une sélection de plats vite faits, bien faits qui valent le détour. On retient notamment le guacamole maison accompagné de fines tranches de pain grillées recouvertes d’huile d’olive, et les calamars frits – la sauce est un délice. Mais ce qui nous fait nous déplacer par ce temps glacial, c’est sa soupe à l’oignon avec croûtons. Une portion copieuse qu’on déguste sous les chauffages de la petite terrasse ou sur les banquettes confortables de l’intérieur tamisé.
District, 80 rue Montmartre, Paris 2e
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L’établissement n’est pas un lieu comme les autres. Etabli en 1906, Bouillon Julien devient rapidement la cantine d’artistes parisiens qui apprécient autant sa cuisine française que son intérieur art déco. Marcel Cerdan et Edith Piaf y auront même leur table. En 2018, le designer britannique John Whelan décide de rendre à l’endroit sa gloire passée. Aujourd’hui, la carte a changé mais les prix restent très abordables. On y dîne un boeuf bourguignon coquillettes et des endives au jambon pour dix euros environ, ou un velouté de potimarron savoureux pour moins de trois euros.
Bouillon Julien, 16 rue du Faubourg Saint-Denis, Paris 10e
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Le credo du Bichat : manger bio, sain et bon marché. Le petit resto du Xe arrondissement créé par Augustin Legrand, cofondateur des Enfants de Don Quichotte, l’association qui se bat pour le droit au logement, accueille tout le monde et fait des soupes comme personne. A l’intérieur, on mange sur de grandes tables en bois et les légumes de saison sont présentés comme chez le primeur. C’est beau, ça sent bon et ça change tous les jours. De quoi nous rendre accro aux recettes de potage végétaliennes et sans gluten révélées au début du service, et à l’ambiance conviviale de la cantine populaire.
Le Bichat, 11 rue Bichat, Paris 10e
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Au-delà de satisfaire notre estomac, The Cure restaure aussi notre joie de vivre. Stéphanie, la patronne, part du principe que les humeurs influent sur ce que l’on a envie de manger et ce que l’on mange influe sur nos humeurs. Elle s’est associée avec un nutritionniste et un chef culinaire pour concocter des plats qui nous réconfortent ou amplifient notre sentiment d’enthousiasme – notamment des soupes à base de légumes variés et spécialement étudiés.
The Cure, 34 rue Notre Dame de Lorrette, Paris 9e
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Le soir dans son lit ou entre midi et deux au comptoir, l’institution à la façade jaune vif de la rue de Charonne propose six recettes quotidiennes qui ne ressembleront jamais à celles de la veille. Des soupes faites avec amour dans la cuisine du rendez-vous vintage. Petits pois à la menthe, carottes aux agrumes et au gingembre, lentilles blondes à l’indienne, des recettes rehaussées d’ingrédients étonnants qui signent notre envie de revenir. Le plus : on peut commander son potage avant 12h30 le jour-même pour être servie en passant la porte.
Le Bar à soupe, 33 rue de Charone, Paris 11e
> Article de Pauline Machado